Phonorama, le site dédié aux phonographes à cylindres

Pavillon en aluminium, démontable en deux parties, n° 185 dans le catalogue Pathé de Juillet 1900 (H = 232 cm, ∅= 10 cm environ).

Le petit pavillon Pathé démontable en aluminium se range dans le coffret du Graphophone n° 25 muni de son couvercle.

Pavillons coniques Pathé, le premier en fer-blanc, le second en aluminium, n° 120 dans le catalogue Pathé de Juillet 1900. Ce modèle de pavillon était principalement monté sur le Gaulois lorsque celui-ci n'était pas vendu avec un pavillon cristal (H = 28 cm, ∅ = 10 cm environ).

Pavillon Pathé en cristal de grande taille dans son écrin pour modèles Stentor ou Céleste. Respectivement référencés sous les numéros 198 et 199 dans le catalogue Pathé d'octobre 1901 (H = 37 cm, ∅ = 30 cm environ)

Pavillon Pathé en cristal irisé, de taille moyenne conçu pour être suspendu à une potence par une fine chaîne. Référencé n° 191 dans les catalogues Pathé, il était principalement destiné aux modèles Le Français et Duplex (H = 26 cm, ∅ = 23 cm environ).

Pavillon Pathé en cristal irisé pour le Gaulois dans son coffret de rangement pyramidal.

Ensemble de trois pavillons n° 120 Pathé coniques en aluminium. On le trouve souvent représenté dans les catalogues Pathé, adapté sur le Graphophone n° 25, grâce au triple raccord réunissant les pavillons.

Le pavillon du Coquet commercialisé par Pathé en 1902 (avant la version équipée d'un système Vérité) est similaire au n° 140 du catalogue Pathé de Juillet 1900. Il est incliné, le corps est en fer-blanc, et la collerette en aluminium (H = 36 cm, ∅= 25 cm environ).

Pavillon Pathé, n° 124 dans le catalogue de Juillet 1900. Ce pavillon relativement lourd, en laiton nickelé, est doté une bague décorée (H = 26 cm, ∅ = 11 cm environ).

Pavillon Pathé n° 150 en laiton nickelé. Ce modèle pour Céleste ou Stentor était suspendu par une chaîne à une potence ou à un pied articulé (H = 68 cm, ∅= 29 cm environ).

• La page du catalogue Pathé consacrée aux pavillons cristal (Octobre 1901).

• Il est à noter que les catalogues Pathé mentionnent un diamètre de 17 cm pour le pavillon du Gaulois (N° 190), alors que la plupart de ces phonographes ont été vendus avec le pavillon N° 191 de 23 centimètres de diamètre.
  

• Les trois formats de pavillons en  «cristal métallisé» communément nommés «irisés» ont aussi été fabriqués en  «cristal blanc uni». De même format que le n° 194, le modèle «Cristal blanc, décor or» portant le n° 192 n'a pas d'équivalent métallisé. 
  Chaque modèle bénéficiait d'un écrin pour assurer son transport. A l'origine, ils  s'accrochaient à la potence propre au phonographe grâce à un fin ressort en spirale qui fut remplacé plus tard par une chaînette.

• Les pavillons en cristal étaient façonnés à chaud par un verrier utilisant un gabarit en bois, il en résulte que l'on observe des différences entre deux exemplaires de même format. L’irisation des pavillons s'obtenait par le dépôt sur le verre d'une composition à base de cuivre, avant de le porter à haute température dans un four.
  

• Les cristalleries du Val-Saint-Lambert en Belgique ont fabriqué des pavillons en cristal; toutefois, il n'est pas établi à ce jour que cette production était destinée à la firme de Chatou.