Phonorama, le site dédié aux phonographes à cylindres

Reproducteur en laiton, peint en noir, à filets dorés, équipant les modèles A, B ou C (après 1899, ∅ 78 mm).

Reproducteur en aluminium pour Lioretgraph automatique acoustique, portant une tige destinée à le soulever en fin de lecture du cylindre. Henri Lioret a utilisé ces reproducteurs pour équiper ses phonographes à bandes de celluloïd construits après 1911 (après 1899, ∅ 58 mm).

Grand reproducteur Lioret en aluminium, ébonite et laiton d'un diamètre de 11 cm. Son utilisation n'est pas connue, on peut supposer qu'il a équipé le Phono-Stéréorama animé présenté dans le catalogue Lioret de mars 1901.
 

Reproducteur de type Lioret en métal nickelé, dont le diamètre (90 mm) dépasse légèrement celui du reproducteur Eurêka en aluminium (∅ 88 mm). Il présente la particularité d'être pourvu d'un saphir rouge taillé en pointe, dont le support en est en cuivre.
 

Ce reproducteur en aluminium, d'origine anglaise ou allemande, semblable à celui du Graphophone type AT, était utilisé par Lioret sur l'Eurêka à ressort pour la lecture des cylindres en cire. La plaque en forme de croissant vissée sur le reproducteur portant l'inscription Reproducteur a pour objet de masquer la même mention en anglais (après 1899, ∅ 39 mm).

Cette vue du reproducteur de type Graphophone utilisé par Lioret montre la plaque en acier protégeant un diaphragme en clinquant.

Reproducteur Lioret pour la lecture des cylindres en celluloïd du Babillard (après 1899, ∅ 60 mm).

Vue du diaphragme et du saphir d'un reproducteur pour cylindres en celluloïd du Babillard. Le support du saphir est vissé de part et d'autre du diaphragme en mica.