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Ce reproducteur Styx se fixe sur le charriot du phonographe grâce à sa bague articulée (∅ 55 mm).

Le diaphragme du reproducteur Styx en ébonite révèle sa similitude avec le reproducteur Le Merveilleux de Charles Cahit.

Le reproducteur en aluminium  Graphophone n° 2 de la Columbia en aluminium a été souvent copié en France. Cet exemplaire  se différencie des autres copies par la mention «Répétiteur»  gravée dans le métal et sa boite de rangement décorée.

Le reproducteur Le Sonore se différencie pas sa forme des autres reproducteurs de son époque. On le doit à Antonin Combret, inventeur d'accessoires pour phonographes et constructeur du Phono-Opéra, auquel Le sonore était destiné. La marque Le Sonore (n° 787407) a été déposée par Antonin Combret le 18 février 1903, un second dépôt a été effectué le 14 mai suivant (n° 79634) pour y associer le dispositif Combret, objet du brevet n° 332.264 du 20 mai 1903.
 

Le Sonore est caractérisé par trois éléments principaux : son très grand diaphragme de 66 mm de diamètre, son tube vertical pour le raccordement au pavillon et son saphir fixé sur une demi-coque de noix de cajou.

Ce reproducteur breveté SGDB licence Combret mentionne la Société Anonyme des Phonocartes, constructeur du Phonopostal et des cartes La Sonorine, ainsi que d'autres reproducteurs, dont Le Polyglotte. Le brevet d'Antonin Combret n° 362.757 du 18 décembre 1905 comporte un dessin montrant ce reproducteur.

Comme le modèle précédent, ce reproducteur Combret est caractérisé par son grand diaphragme et un porte-saphir constitué par une demi-noix de cajou.

Ce reproducteur en aluminium sans marque est celui des phonographes Phénix construits par Louis Lamazière (∅ 55 mm). Il équipait les phonographes (Le Phénix, L'Excelsior ou le Musica) proposés par une librairie de vente par correspondance de Libourne, la maison Malleville. Henri Joly vendait son phonographe The American Melodieux (similaire à l'Excelsior, mais doté d'un mandrin standard) avec cette même tête, présente aussi sur le phonographe Au Sou Bébé de 1855.
 

L'enregistreur du Phénix, rangé comme le reproducteur dans une boite caractéristique, bleue à l'extérieur et rouge à l'intérieur (∅ 32 mm).

Ce reproducteur de type Phénix (∅ 55 mm), utilisé sur le Musica, porte les initiales de Georges Dutreih qui vendait ce phonographe. Celui ci était utilisé en bout de pavillon flottant, alors que le précédent, doté d'une bague articulée, se fixait sur le charriot du phonographe.