- Autres reproducteurs français [Page 8/10]
| | Un reproducteur Phénix destiné au marché anglais. Il ne porte pas la marque de Georges Dutreih, un tampon Reproducer G.D. figure toutefois au dos de sa boite de rangement. | | | | | Ce second reproducteur de type Phénix pour le marché anglais, modèle déposé, se nomme The G.D. Il est rangé dans la boite bleue caractéristique des têtes de George Dutreih. | | | | | Ce reproducteur s'apparente à celui du Phénix, il est toutefois doté d'une bague de serrage du diaphragme que ne possèdent pas les autres modèles (∅ 55 mm). | | | | | Reproducteur de type Phénix portant la mention de la maison J. Gondry (Phono-photo). | | | | | Le reproducteur Etoile est l'invention d'Edouard Cannevel, qui a déposé deux marques (n° 75030 et 75031), relatives à ce diaphragme le 7 juin 1902. La première concerne la dénomination Etoile, la seconde l'aspect du reproducteur, destiné à recevoir un signe quelconque : croix, étoile, etc.. | | | | | Le reproducteur Etoile, conforme aux marques déposées par Edouard Cannevel, et sa boite de rangement (∅ 55 mm). Le numéro du brevet relatif à ce reproducteur (307.593 du 11 janvier 1901), figure sous le diaphragme en verre. | | | | | Un reproducteur Etoile doté d'une boite bleue, différente de la précédente. Les similitudes notées dans les boites de reproducteurs (forme, lettrage, couleurs), laissent supposer que la plupart provenaient du même fabricant spécialisé. | | | | | Ce second exemplaire de reproducteur Etoile, diffère du modèle classique par son mode de fixation. Celui-ci est à utiliser en bout de pavillon grâce à un adaptateur qui a pris la place de la bague articulée. | | | | | A l'image du reproducteur précédent, cette tête Etoile va se fixer en bout de pavillon. Elle présente en outre la particularité de porter sur la partie supérieure la marque d'un important commerçant parisien, la maison Guillé-Gaillard 5, rue Grange Batelière à Paris. | | | | | Enregistreur en ébonite, sans marque (∅ 32 mm). | | |
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